Quel est le lien entre l’alimentation et les maladies de société ?

26
Juillet
Quel est le lien entre l’alimentation et les maladies de société ?

Aujourd’hui, notre alimentation a beaucoup changé. En effet, sa qualité s’est beaucoup dégradée à cause du mode de culture et du mode de préparation, donnant naissance à un plus haut risque de développer certaines maladies dites « de société ». Granaline vous propose un tour d'horizon des maladies de société les plus fréquentes.

Qu’est-ce qu’une « maladie de société » ? Par ce terme, l’on entend les maladies comme les cancers, les maladies cardiovasculaires ou encore l’obésité.

De plus en plus de pays émergents, en développement et industrialisés se trouvent confrontés à ces maladies. Cela s’explique par la diminution de l’activité physique, la sédentarité, mais aussi par l’augmentation de la consommation d’aliments riches en énergie, en graisses, en sucres libres, etc… La mortalité causée par ces maladies chroniques est en train de surpasser celle causée par les maladies infectieuses et liées à la malnutrition. (1)

En effet, notre alimentation quotidienne continue de s'appauvrir en nutriments essentiels car nous lui enlevons une partie d’importants aliments ou nous ajoutons aux aliments des substances qu’ils ne contiennent pas normalement comme les additifs ou les colorants. (2)

Pour cette raison, leur nombre peut être réduit en suivant les recommandations nutritionnelles nationales. (3)

 

Pleinement engagée dans la bio-nutrition, Granaline produit des purs jus de grenade antioxydants BIO et des compléments alimentaires Humeur Positive BIO qui ne contiennent ni additif, ni colorant !

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Le cancer

Le cancer est une des causes principales de mortalité dans la population des pays industrialisés. Il est aujourd’hui reconnu qu’une alimentation quantitativement et qualitativement altérée augmente le risque de cancers.

Le stress oxydant représente une des situations directement liées à la nutrition et qui contribue à un risque accru de développer un cancer. (4) Ce phénomène correspond à l’agression de nos cellules par des radicaux libres, eux-mêmes causés par des facteurs exogènes comme les produits chimiques, les médicaments, le tabac, l’alcool, les pesticides ou produits par nos cellules pour protéger l’organisme d’une potentielle menace. Les radicaux libres formés par nos cellules sont donc là pour nous protéger des micro-organismes pathogènes.

Néanmoins, si l’exposition aux pathogènes est trop récurrente, il y aura des dommages collatéraux et les cellules saines du corps seront également attaquées, l’ADN présent dans le noyau pourra être modifié et ces cellules défaillantes pourront se multiplier et causer un cancer. (5)

L’alimentation intervient donc à cette phase. L’apport d’antioxydants et donc de vitamines par l’alimentation sont donc essentiels. En effet, ces molécules comme la vitamine C (6), dont la grenade est une source, la vitamine E (7), les bêta-carotènes (8) ou la vitamine A (9) sont capables de détruire les molécules toxiques.

Pour illustrer cela, nous pouvons prendre l’exemple des cancers colorectaux. Ils sont responsables de 500 000 décès par an dans le monde. Les régions les plus touchées sont celles à haut niveau socio-économique. Dans les années 80, une étude menée par Doll et Peto à démontré que 80% de la mortalité par cancer était évitable. Il semble que la principale cause soit l’alimentation car les modifications des régimes permettent de diminuer l’incidence du cancer colorectal de 60%. (10)

 

Les maladies cardiovasculaires

L’alimentation joue un rôle dans le développement des pathologies cardiovasculaires. Les lipides et les glucides exercent une influence majeure sur ce risque.

En effet, les produits transformés riches en acides gras trans doivent être évités et les acides gras polyinsaturés ont un effet plutôt favorable sur les facteurs de risque cardio-vasculaires. Parmi ces acides gras polyinsaturés, on retrouve les omégas 3 présents dans les produits de la mer, l’acide oléique et alpha-linoléique présents dans beaucoup d’huiles végétales. (11)

Concernant les glucides, il est recommandé de privilégier l’apport de glucides complexes et de fibres présents dans les fruits comme la grenade (12), les légumes et les céréales.

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L’obésité

L’obésité est une maladie de plus en plus présente dans le monde et elle est étroitement liée aux maladies cardiovasculaires (15) et au diabète de type 2. Les populations touchées subissent des troubles médicaux et chirurgicaux qui entraînent des hospitalisations. (13) Les causes de cette maladie sont en général une combinaison d’une alimentation énergétiquement dense à une vie sédentaire. (14) Cela mène donc à un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques.

La quantité de graisse dans l'alimentation impacte plus le poids d’une personne que le nombre de calories qu’elle contient. La quasi-totalité des calories contenues dans les graisses est stockée directement dans les cellules adipeuses, qui augmentent le poids et la circonférence du corps en se développant et en se multipliant. (16) Cependant, les glucides comme les céréales, le pain, les légumes et les protéines sont transformés en carburant presque de suite après consommation. (17) Les régimes gras entraînent donc des taux de cholestérol trop élevés, certains organes sont affectés par la quantité des graisses contenues dans le sang et la circulation sanguine est dégradée. (18) On retrouve donc le lien entre l'obésité et les maladies cardiovasculaires.

 

 

Pour conclure, notre santé est étroitement liée à notre alimentation. La question nutritionnelle soulève des enjeux économiques et de santé publique importants qui sont en constante évolution en fonction des comportements de consommation et de l’offre alimentaire. (19)

 

Granaline, bien manger aujourd’hui pour mieux vivre et mieux vieillir demain.

 

 

Sources :
(1) https://revues.cirad.fr/index.php/cahiers-agricultures/article/view/30418
(2) https://nutranat.com/alimentation-aujourdhui/
(3) https://www.inserm.fr/dossier/nutrition-et-sante/
(4) https://www.rmlg.ulg.ac.be/show.php
(5) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12112427/
(6) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12679830/
(7) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12324281/
(8) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12134711/
(9) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12361782/
(10) https://www.jle.com/fr/revues/bdc/e-docs/lien_epidemiologique_entre_comportement_alimentaire_et_cancer_exemple_du_cancer_colorectal_281598/article.phtml
(11) https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0515370021003682?casa_token=dgBb-JqP6NEAAAAA:G2UAU85I144fWyFEvtD_LhwZf6r2lQ0NCEdaFHD4dpCbr2LXsTmjbkD1_1ZHf_EpT3L6iM91N_Y
(12) https://ciqual.anses.fr
(13) https://aspenjournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1177/0115426505020004480
(14) https://www.jle.com/fr/revues/san/e-docs/transition_nutritionnelle_et_maladies_chroniques_non_transmissibles_liees_a_l_alimentation_dans_les_pays_en_developpement_220027/article.phtml?tab=references
(15) https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0828282X08710432
(16) http://www.dynamicpublisher.org/gallery/85-ijsrr-d776.pdf
(17) https://www.sciencedirect.com/book/9780080258959/the-science-of-food
(18) https://www.spandidos-publications.com/etm/12/4/2395
(19) https://www.researchgate.net/profile/Fabrice-Etile/publication/342002489_Alimentation_et_sante_changer_les_comportements_de_consommation_ou_mieux_reguler_l'offre_alimentaire/links/5fbe6bc2458515b7976c1818/Alimentation-et-sante-changer-les-comportements-de-consommation-ou-mieux-reguler-loffre-alimentaire.pdf